Le marché du travail est en constante évolution. La demande excède actuellement l’offre, et nous assistons à une pénurie de talents. Les entreprises ont de plus en plus de mal à recruter et à garder leurs collaborateurs. Notamment dans le secteur de la finance, où on recherche davantage d’experts dans un monde de plus en plus complexe et dans un contexte post-covid.
En 2021, en France, 21 000 offres d’emploi dans le secteur de la finance sont restées vacantes(1), et cette tendance risque de s’accentuer. 81% des directeurs financiers prévoient des recrutements durant l’année à venir et 29% anticiperaient déjà la création de nouveaux postes d’ici à 2023(2). Ce qui devrait creuser davantage l’écart entre le nombre d’offres d’emplois à pourvoir et les emplois pourvus.
Le risk management (maîtrise des risques) est devenue primordiale au sein des établissement financiers. Dans cette optique, des grandes banques nationales, BNP Paribas Fortis, KBC, Belfius et ING Belgique ont prévu d’engager plus de 1 500 personnes dans ce domaine, courant 2022.
Jusqu’en 2020, les recrutements dans les établissements de crédit se concentraient sur les fonctions cash management et gestion des fonds. Désormais ils se concentrent davantage sur la partie transactionnelle et les opérations de croissances externes. Les experts en contrôle financier, les spécialistes de la fusion acquisition, les experts comptables et les fonctions d’audits sont donc des profils très convoités mais pénuriques. D’autres types de métiers sont aussi recherchés, les managers de transition et les contrôleurs de gestion, notamment pour porter les projets de transformation, d’harmonisation et de digitalisation des systèmes de l’entreprise.
La grande évasion a fait repartir à la hausse le turnover, jusque là en baisse au sein des établissements financiers. Les employeurs ont du mal à trouver de nouveaux collaborateurs qui répondent à leurs exigences. C’est-à-dire, être capable de mener des projets de transformation structurants pour l’entreprise. Raison pour laquelle ils se tournent fréquemment vers les freelances, dont le niveau de formation suit fortement la demande et donc le niveau d’expertise attendu.
Cela fait véritablement partie de la culture des travailleurs indépendants en finance, de se former régulièrement afin de rester les plus compétitifs possibles. La DFCG a d’ailleurs créée la labellisation des DAF à temps partagé. Ce processus permet aux DAF à temps partagé de faire reconnaitre leur compétences.
Notons que, 57% des entreprises françaises ont eu recours à des travailleurs indépendants en freelance en 2021(3). 61% des start-ups comptent plus de 30% de freelances dans leur effectif. Et 1 entreprise sur 4 déclare avoir augmenté le nombre de ses freelances en mission cette année. Ils font désormais partie intégrante de la stratégie de recrutement des entreprises françaises dans le secteur de la finance, leurs niveaux d’expérience et d’expertise leur permettant de s’intégrer dans la stratégie de croissance et la conduite de projets clés.
Conséquence du regain de croissance, les difficultés de recrutements se sont intensifiées. S’appuyer sur un tiers de confiance, comme Qwincy s’avère être judicieux afin d’économiser un temps précieux. Mais aussi pour être efficace dans son recrutement. Le freelance étant tout d’abord qualifié par Qwincy, expert dans les métiers de la finance. Il arrive déjà formé dans l’entreprise, et prêt à être productif. L’un des défis que pourrait rencontrer les services RH est l’intégration du freelance. Faire appel à Qwincy c’est l’assurance de gagner du temps dans son recrutement et d’être mis en contact avec les profils correspondant parfaitement à son besoin.
Cet article vous est proposé par Qwincy, plateforme de mise en relation entre entreprises et experts indépendants freelances spécialisés dans l’univers de la finance, de la comptabilité. Besoin d’une expertise en freelance ? Faites appel aux experts Qwincy ou rejoignez la communauté de consultants indépendants.