BFM Objectif Croissance : Interview de Fréderic Léger

Une plongée dans l’univers de Qwincy et de nos ambitions : Frédéric Léger, co-fondateur et CEO de Qwincy, a été l’invité d’honneur de BFM Business, où il a participé à une entrevue exclusive menée par le présentateur Vincent Touraine. Au cours de cette discussion, Frédéric a levé le voile sur les coulisses de Qwincy. Cette interview exclusive offre un aperçu unique de nos réalisations passées, de nos défis actuels et de nos perspectives futures.

Une plateforme qui met en relation des freelance experts en finance avec les directions financières des entreprises pour des missions ponctuelles. C’est le modèle que développe notre invité, Frédéric Léger. Bonjour.

Bonjour Vincent.

Vous êtes président co-fondateur de Qwincy. Merci d’être avec nous dans Objectif croissance. Qwincy, Q-W-I-N-C-Y.

Tout à fait.

Qu’est- ce que Qwincy ? Comment vous est venue l’idée de créer votre plateforme ?

L’histoire de Qwincy, c’est un peu la mienne. J’ai été dirigeant d’un grand groupe de conseil et d’audit international. On était 1600. J’étais un peu lassé de cette grande organisation, finalement un peu rigide. Et puis, avec mon associé et cofondateur de Qwincy, il y avait un besoin auquel on ne répondait pas, c’est comme ça qu’est née l’idée de Qwincy, de permettre aux entreprises de trouver les meilleurs profils financiers très rapidement.

Et vous en avez 700 des consultants qui travaillent avec vous et vous réalisez ou plutôt vous visez les 3 millions d’euros de chiffre d’affaires fin 2023. Qui sont vos clients et quels sont leurs besoins ?

On travaille en France et à l’international. Nos clients, ce sont des grands groupes français, des ETI, et quelques scale-ups. Nos interlocuteurs sont les directions financières le plus souvent. Ils ont besoin en général, pendant la clôture des comptes, de directeurs comptables, de responsables comptables. Puis arrive la phase budgétaire donc là ce sont des contrôleurs de gestion, des contrôleurs financiers.

Ça, c’est toutes les spécialités de vos consultants ?

Exactement. Tout ce qui va tourner autour de la finance d’entreprise. Et donc, des besoins, ils en ont tout au long de l’année également, notamment pour tout ce qui est transformation. Puis, il y a les remplacements : remplacements de congés maternité ou pendant un recrutement qui prend beaucoup de temps. Et là, on peut leur proposer des solutions.

Pourquoi avoir choisi les métiers de la finance ?

Alors, je suis tombé dedans quand j’étais petit, un peu comme Obélix. Mon père est expert-comptable, mon associé est expert-comptable, j’ai été expert-comptable, donc j’ai passé mon temps à côtoyer les métiers de la finance. C’était donc assez naturel de choisir ce vertical là. On a fini par infuser cela auprès de toutes nos équipes chez Qwincy et on parle vraiment le même langage que les consultants et que nos clients.

Qu’est-ce qui vous différencie chez Qwincy ? Pourquoi fait-on appel à vous ?

On fait appel à nous parce que, un, on n’est pas qu’un acteur français, on est un acteur international. Deux, on est une plateforme de financiers créée par des financiers pour les directions financières. Trois, notre vivier, vous l’évoquiez tout à l’heure, de 700 consultants qu’on a sélectionnés, avec qui on s’est entretenu. Ce n’est pas juste un CV téléchargé sur une plateforme. Et puis enfin, on répond aussi dans l’urgence. On a déjà eu un cas, un client qui nous appelle le jeudi soir, pour une mission qui démarre vendredi matin.

Vous vous dites envergure internationale, vous suivez vos clients à l’international ?

Oui, en France et en Europe.

On est dans Objectifs Croissance. Vous allez nous parler de ce que vous prévoyez pour la suite. Quelles sont les prochaines étapes du développement de Qwincy ?

On a trouvé notre marché. Clairement, on s’est développé très vite. Le besoin sur le marché du management de transition est très important aujourd’hui parce que le marché du salariat en finance est pénurique. Les gens n’arrivent pas à recruter. Et l’intelligence artificielle, clairement, c’est un domaine dans lequel on veut se développer ; c’est vraiment très puissant. Et on ne veut pas remplacer nos consultants. On veut juste améliorer le matching entre le besoin du client d’un côté et le meilleur consultant de l’autre. Et donc, clairement, on va continuer à recruter et à se développer, mais on ne va pas devenir, avec Nicolas, on l’a décidé, un gros mastodonte parce qu’on veut garder de l’agilité et de la souplesse pour nos clients.

Très bien. Merci beaucoup, Frédéric Léger d’être venu jusqu’à nous dans Objectif Croissance, président co-fondateur de Qwincy. Au revoir.

Cet article vous est proposé par Qwincy, plateforme de mise en relation entre entreprises et experts indépendants freelances spécialisés dans l’univers de la finance, de la comptabilité. Besoin d’une expertise en freelance ? Faites appel aux experts Qwincy ou rejoignez la communauté de consultants indépendants.